dimanche 17 avril 2016

Epiphone SG G400 Worn Brown : a love affair

J'ai toujours aimé la finition "worn brown" sur les Epiphone !
Je ne compte plus, il y a quelques années, le nombre de fois où je suis allé à Paris, quartier Pigalle, pour aller tâter la Les Paul Worn Brown... J'adorais le côté brut de cette guitare avec, notamment, l'absence de cache sur les humbuckers et les simples repères "points" sur la touche. Quelque chose de roots, de punk... Je ne suis hélas jamais passé à l'achat et l'instrument semble avoir été retiré du catalogue depuis un moment. 


Alors, lorsque j'ai vu l'Epiphone SG G400 worn brown au magasin Woodbrass de Paris, en octobre 2015, j'ai compris qu'il fallait que je passe à l'acte. Bien m'en a pris : quelques semaines plus tard, elle était indisponible !
L'article de Benoît Navarret, paru dans Guitar Part n°250 (janvier 2015), est intéressant mais ce n'est pas lui qui a déclenché mon achat (encore une fois, c'est une vieille passion). 
Pour la lutherie, j'aurais mis 4/5, ne serait-ce que pour son esthétique : c'est vraiment un très bel instrument. Aucun défaut de fabrication, les mécaniques tiennent l'accordage durablement, tout est bien fini et poli, à une exception près : le bouton de volume du micro chevalet est monté très légèrement de travers sur mon exemplaire (un infime défaut, sans la moindre conséquence sur les performances). 
Pour les micros, je suis d'accord avec Guitar Part : ils ont un rendu assez mat qui leur retire un poil de nervosité. Ceci dit, le micro manche est chaleureux, le micro chevalet accroche bien les saturations de par son niveau de sortie ainsi que ses aigus ; quant à l'interposition, elle est très intéressante car elle dose parfaitement le meilleur de ces 2 mondes !

Sur le net (vers ma chaîne YouTube) :
Epiphone SG G400 Worn Brown : my own test

Mon lien partenaire Thomann :
https://www.thomann.de/fr/epiphone_vintage_g400_wb_02.htm?partner_id=80029
Si vous achetez avec ce lien, ceci me permettra de continuer à faire ce que je fais : acheter des guitares, des pédales d'effets ou des amplis et les essayer en ligne.  C'est ma passion. Merci beaucoup pour votre contribution.

vendredi 15 avril 2016

More about the Fuzz Face Band of Gypsys...

La Fuzz Face Band of Gypsys est née dans les livres d'histoire contemporaine : celle de 3 concerts mythiques (Woodstock, Berkeley et Fillmore East) donnés par Jimi Hendrix et son band, alors en pleine mutation, durant la période 1969/1970. 
A ces différentes occasions, les observateurs ont pu constater la présence d'une mystérieuse Fuzz Face rouge dotée de boutons blancs, tandis que les auditeurs ont été vampirisés par un son plus mordant et agressif que d'habitude. Une nouvelle pièce dans l'arsenal d'Hendrix, se démarquant des Dallas Arbiter moins virulentes de ses débuts.
Hélas, la Fuzz Face rouge aux boutons blancs a disparu dans les méandres de la vie dissolue de son utilisateur. Qui sait ce qu'elle est devenue ?
De cette époque mythique, il nous reste les enregistrements live et ce son hallucinant. Une sorte de graal que les ingénieurs ont retrouvé en bidouillant le circuit de l'Octavio, retirant l'octave supérieure et ajustant différents paramètres.
Dans Guitar Xtreme n°67 (mars/avril 2015) : article sur le NAMM Show 2015

Dans Guitar Part n°249 (décembre 2014)


mercredi 13 avril 2016

Fuzz Face mini Band of Gypsys : springtime edition !

Sur le toboggan dino, au soleil...
L'édition limitée "chrome" de cette petite sauvage reflète bien les couleurs du printemps.
On n'est pas loin de la Fuzz Face Joe Bonamassa dans sa superbe livrée "copper", malheureusement interdite en Europe...


Elle embrasse l'arbre en fleur...
Elle se mêle au jeux de jardin que l'on ressort enfin...
Dans l'herbe, parmi les premiers pétales de fleurs...
On range !
Sur la toile :